Mode impératif (suite)
L’impératif sert à donner des ordres ou des conseils à quelqu’un:
“Viens ici, écoute-moi.”
“N’écoutez pas les bêtises qu’elle raconte”
“Prenons ce chemin, nous irons plus vite”
“Faites attention aux flaques d’eau.”
Panorama: Le passé simple
(ch 5
)
(pour plus de détails, voir p21)
Simple? On l’appelle comme cela, mais pour les enfants il est plutôt
compliqué, parce qu’on ne le rencontre qu’à l’écrit, dans des contes ou
des romans. C’est normal de ne pas l’utiliser correctement à tous les
coups, mais essaie de le reconnaître quand tu le rencontres.
Gérard se leva de bonne heure pour partir aux champignons. Il se
mit des bottes en caoutchouc, prit un panier et un bâton. Au détour
d’un chemin, il aperçut des taches claires: c’étaient des bolets.
Un coup de tonnerre résonna, je fermai la fenêtre, j’ouvris mon
parapluie, je chaussai mes bottes et courus jusqu’à l’écurie pour
calmer les chevaux qui s’inquiétaient. Puis je revins à la maison.
Panorama: Le mode conditionnel
(ch 6)
(pour plus de détails, voir p22)
C’est la forme que prend le verbe pour une action incertaine, peu
probable, non réalisée, car soumise à une condition. Si j’avais le temps, j’apprendrais le piano.
J’aimerais faire du cheval, mais c’est un peu cher.
Nous viendrions bien vous voir, mais nous ne pouvons pas!
Ils sauraient répondre à cette question, s’ils avaient mieux écouté.
L’impératif sert à donner des ordres ou des conseils à quelqu’un:
“Viens ici, écoute-moi.”
“N’écoutez pas les bêtises qu’elle raconte”
“Prenons ce chemin, nous irons plus vite”
“Faites attention aux flaques d’eau.”
Panorama: Le passé simple
(ch 5
)
(pour plus de détails, voir p21)
Simple? On l’appelle comme cela, mais pour les enfants il est plutôt
compliqué, parce qu’on ne le rencontre qu’à l’écrit, dans des contes ou
des romans. C’est normal de ne pas l’utiliser correctement à tous les
coups, mais essaie de le reconnaître quand tu le rencontres.
Gérard se leva de bonne heure pour partir aux champignons. Il se
mit des bottes en caoutchouc, prit un panier et un bâton. Au détour
d’un chemin, il aperçut des taches claires: c’étaient des bolets.
Un coup de tonnerre résonna, je fermai la fenêtre, j’ouvris mon
parapluie, je chaussai mes bottes et courus jusqu’à l’écurie pour
calmer les chevaux qui s’inquiétaient. Puis je revins à la maison.
Panorama: Le mode conditionnel
(ch 6)
(pour plus de détails, voir p22)
C’est la forme que prend le verbe pour une action incertaine, peu
probable, non réalisée, car soumise à une condition. Si j’avais le temps, j’apprendrais le piano.
J’aimerais faire du cheval, mais c’est un peu cher.
Nous viendrions bien vous voir, mais nous ne pouvons pas!
Ils sauraient répondre à cette question, s’ils avaient mieux écouté.